Infertilité
C’est difficile pour moi de parler de ce sujet, pourtant c’est celui qui me touche le plus et c’est pourquoi j’ai créé Deux Barres Roses.
Il y deux semaines j’ai été opérée de l’utérus, du a une complication à la suite de ma première césarienne. J’avais une poche de liquide dans l’utérus et je ne pouvais pas tomber enceinte.
Avant ça, j’ai dû le faire le deuil (plutôt rapide) sur le fait que je ne tomberais pas enceinte naturellement encore cette fois-ci. Car oui il y a un côté romantique à savoir que c’est ce soir-là, ce moment-là qu’on a conçu notre bébé et pouvoir s’en rappeler avec tendresse plus tard. Pour moi, mes bébés ont été conçus dans un laboratoire et c’est nettement moins glamour.
Mais pendant un mois, un petit mois, j’y ai cru que je serais de celles qui conçoivent leurs bébés un soir de semaine après avoir regardé un épisode de Greys Anatomy. Ça été aussi le mois de l’horreur car sans traitement je devais gérer mon endométriose et les douleurs qui allait avec, résultat, j’ai passé 3 semaines sur 4 pliée en deux. Et quand vint le moment des règles mon espoir s’est réduit à néant. Après ce mois infructueux, en même temps rare sont celles qui tombent enceinte en un mois seulement. Ma gynéco me propose de faire directement une FIV pour moins souffrir. Et la commence ce fameux deuil, celui du bébé romantique, commence aussi le questionnement et le doute. Car les traitements de FIV sont lourds, même si en ayant encore 5 embryons congelés j’avais moins d’actes médicaux à subir.
Pleine d’espoir, je commence mon traitement, je partais en vacances et à mon retour j’avais l’échographie pour mesurer l’endomètre et organiser le transfert. Sauf que lors de cette fameuse écho, le dr voit que j’ai une poche de liquide qu’elle avait déjà vu auparavant mais elle pensait que ça pouvait partir seul. Ce ne fut pas le cas, et la fallait encaisser un nouveau coup dur, repasser par la case opération.
Déjà dans la vie d’une femme en bonne santé, elle doit montrer son anatomie à BEAUCOUP de personnes différentes. Et quelque part il y a une injustice à ça, je suis à l’aise avec mon corps mais quand je pense au nombre de personne qui ont vu mon intimité, ça devient desfois dur à accepter. Et donc je repars pour une opération, en sachant qu’au moins 6 personnes dans le bloc verront cette partie de moi à nouveau. Je le souligne car je pense que beaucoup de femmes pensent comme moi et psychologiquement ce n’est pas facile. S’ajoute à ça une énième anesthésie, à se demander comment je fais pour encore écrire cet article au vu du nombre de neurones qui ont dû déjà bruler.
Après on a la douleur au réveil et l’annonce de ce qui a pu être trouvé. Cette fois, ce n’était clairement pas dramatique, on m’a enlevé ce liquide, brulé quelque truc et j’étais presque comme neuve. Mais il a fallu gérer la fatigue, la douleur et toujours le doute. Est-ce que la FIV va fonctionner ? J’ai recommencé direct les hormones et pas en vue de faire une FIV, mais car le médecin avait besoin de voir comment mon corps réagirait et de l’aider sur d’autre plan. Maintenant il faut aussi gérer la frustration, les effets secondaires n’aidant pas, je me demande à quoi bon endurer tout ça. J’ai déjà une magnifique petite fille, je devrais m’en contenter et être reconnaissante de ce que la vie m’a déjà apporté. A quoi bon prendre un traitement deux fois de suite si finalement ça n’aboutit pas sur un bébé. Pourquoi tout n’est que souffrance et bataille? Pourquoi moi ?
Lors de ma première FIV, j’avais du pourtant me piquer tous les jours et j’avais mieux supporter l’avant que l’après une fois enceinte. J’avais dû faire la ponction, et ensuite le transfert mais c’était plus facile, peut-être car je m’étais vraiment préparée à ça, j’avais vu plein de thérapeutes, pris soin de moi. Cette fois-ci j’ai déjà ma fille alors je prends les choses plus à la légère et je me laisse guider. Mais du coup, je n’étais pas préparé du tout à tous ces effets secondaires.
Et puis finalement le moral remonte un peu et on retrouve la force et l’espoir qu’on avait perdu, pour réussir à finir le traitement et quand les hormones auront disparu, on oublie. Comme un accouchement sur le moment on se dit plus jamais et quelque temps après le corps est bien fait pour oublier et on se dit pourquoi pas, c’était pas si terrible.
Je remercie Groseille ©, toujours aussi talentueuse, qui retransmet vraiment très bien ce qu’on vit au quotidien par ses illustrations. Je suis sûr que beaucoup d’entre nous se reconnaitrons, le ventre gonflé et le courage qu’on doit trouver pour chaque jour se piquer. 😉
salut,je suis Carine,agee de 39 ans,je suis une lectrice reguliere de ce blog,je suis tres satisfaite de cet article,et je pense que cet article va aider d’autres gens,je partage avec vous une methode qui a fonctionner correctement pour beaucoup des gens dans le monde,cette methode aide a vaincre l’infertilité et aide a éliminer toutes les causes d’infertilité,
-Donner naissance à des bébés sains,
-Traiter les problèmes de fertilité des deux sexes
-Améliorer radicalement votre qualité de vie ! tomber enceinte rapidement et naturellement,je pense que vous pouvez l’essayez,je crois que la solution sera concrete et permanent pour vous…
meme si
– Vous avez largement dépassé les 35 ou 40 ans
-Vous avez une obstruction des trompes
Vous avez un fort taux de FSH
-Vous avez un syndrôme des ovaires polykystiques ou une endométriose
-Vous avez des fibromes utérins ou des cicatrices à l’utérus
-Vous avez des kystes ovariens ou «ovaires paresseux»
-Vous avez des antécédents de fausses couches.
-Votre partenaire masculin a une faible concentration des spermatozoïdes…
Vous pouvez tomber enceinte Sans recourir à des procédures longues, des médicaments ou insémination intra-utérine
Plus rapidement et plus facilement que vous ne l’auriez jamais cru possible!
Vous pouvez l’essayer à la lettre et la solution sera parfaite pour vous….
http://bit.do/Guerir-linfertilite-grossesse